mardi 12 juin 2007

E-mail au CSA

Madame, Monsieur,

J'étais candidat dans la première circonscription de Tarn et Garonne sous l'étiquette "LA FRANCE EN ACTION"

Dans la publication des résultats, tous les médias notent au droit de chaque candidat son appartenance (parti communiste, front national, parti socialiste...)

Dans mon cas, ils notent systématiquement "divers" au lieu de "La France en Ation"

Je vous saurai gré de m'expliquer cette différenciation et de faire obligation aux dits médias de diffuser mon appartenance comme pour les autres candidats.

Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en mes cordiales salutations.

Daniel LACROZE-MARTY
Candidat LA FRANCE EN ACTION

dimanche 10 juin 2007

Remerciements législatives

Communiqué de presse
Daniel LACROZE-MARTY – LA FRANCE EN ACTION
Je remercie tout d’abord Luciana qui s’est engagée avec courage à mes côtés dans cette campagne législative.
Je remercie tous ceux et toutes celles qui m’ont fait confiance en soutenant le programme de LA FRANCE EN ACTION. Notre score est honorable, il est le reflet d’une volonté d’un renouveau dans la politique.
Dimanche prochain, nous sommes appelés à nouveau aux urnes.
LA FRANCE EN ACTION et moi-même, défendons des valeurs fortes de tolérance, de partage, d’honnêteté… ;
Nous sommes partisans d’une politique riche de ses individus, nous sommes contre le cumul des mandats ;
Je milite avec ferveur pour la liberté d’expression, pour le respect d’opinion de chacun ;
LA FRANCE EN ACTION est un parti qui se démarque du clivage gauche-droite ;
En conséquence de tous ces aspects (et de bien d’autres), je ne donne aucune consigne de vote pour le second tour.

samedi 28 avril 2007

Législatives 2007

Avec LA FRANCE EN ACTION, je suis candidat aux législatives 2007 dans la première circonscription de Tarn-et-Garonne

http://www.dlm-election-legislative-2007.blogspot.com/

Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont soutenu dans cette campagne.

Daniel LACROZE-MARTY

samedi 3 mars 2007

Méthodologie

Nous vivons dans un monde qui n’est pas parfait. Notre société est l’invention des Hommes. Nous vivons dans une société hiérarchisée où certains commandent et d’autres sont commandés.
Notre vie politique est gérée par des Constitutions étatiques, des Traités internationaux…
Nous sommes dans un pays qui se dit démocratique et les citoyens élisent des représentants sensés nous représenter.
Nous attendons d’eux qu’ils gouvernent notre pays et par-là même, notre vie. Sauf que nous ne sommes pas toujours d’accord avec eux !
Au gré des élections, nous élisons des personnes de sensibilités différentes et l’alternance politique est bien ancrée dans notre pays.
Sauf que nos problèmes ne se résolvent pas, bien au contraire. Il n’y a qu’à voir la hausse des sans-emploi, des sans-logis, des mal bouffe, des revenus insuffisants, de la paupérisation chronique…
… Et nos politiciens ont toujours le sourire en affirmant « j’ai la solution, je vous le promets… ». Droite, gauche, gauche et droite, droite, droite et gauche, droite… depuis trente ans il semble bien que la voie dans laquelle nous sommes échappe à nos élus de tout bord.
Il y a des gens qui ont faim : les restos du cœur,
Il y a des gens mal logés : Emmaüs,
Il y a des gens sans argent : R.M.I.,
Il y a des gens mal soignés : C.M.U.,
Il y a des gens sans travail : ASSEDIC,

Que de pansements pour cacher les plaies… mais les plaies y sont toujours, la gangrène guette…
La politique de nos élus est-elle de soigner ou de guérir ?
Soigner : donner des soins à un malade.
Guérir : débarrasser d’une maladie.
Nous voyons bien que si nous attendons une guérison, nos élus ne nous proposent que des soins sans garantie.
Et si cette voie dont je parle plus haut, n’était pas celle de nos élus ?
Et si cette voie dans laquelle nous sommes était celle voulue par quelqu’un d’autre ? Par les dirigeants des multinationales (et d’autres) par exemple ?
Et si nos élus n’étaient là que pour nous soigner des dommages collatéraux provoqués par la politique de l’argent ?
Y a t-il une finalité dans le système qui régit notre société ?
Si nous reconnaissons que l’arrivée tardive des Alliés lors de la seconde guerre mondiale (après que l’Europe se soit bien auto-mutilée), que l’actuelle guerre en Irak, et bien d’autres événements tragiques à travers le monde depuis plus d’un siècle (Afghanistan, Vietnam, Bosnie…) ne sont pas le fruit du hasard mais font bien partie d’une volonté d’individus (au travers d’un État) de dominer le monde, alors nous aurons fait un grand pas en avant pour remédier à cet état de fait : connaissant la cause, nous pouvons proposer un remède.
Ces événements ne sont pas le fruit du hasard, ils sont incorporés dans un ensemble de domination du monde. Cet ensemble n’est ni plus ni moins qu’un projet, un projet de domination.
À l’encontre d’un projet de domination, nous devons proposer un projet de partage.
La réussite passe par la conception d’un projet : pas de projet, pas de réussite. Notre société est à notre image… passivité dans le projet d’autrui ou activité dans notre projet, à nous de choisir.
Pour mener à bien un projet, il est nécessaire de définir des objectifs, c’est la phase 1. Ces objectifs répondent aux questions : « comment voulons-nous vivre, dans quelles conditions ? », « quelles contraintes sommes-nous prêts à consentir » (n’oublions pas que nous vivons en société)…
« Diminuer les impôts », « augmenter les minima sociaux »… ne sont pas des objectifs, seulement des moyens pour atteindre un ou des sous-objectifs : réduire la pauvreté…
Les objectifs clairement définis, nous pouvons définir les moyens (matériels, économiques, politiques, humains…) à mettre en œuvre pour atteindre nos objectifs (phase 2). Nous pouvons quantifier ces besoins et les programmer dans le temps.
Nous nous rendrons compte de l’interaction des décisions : plus d’une chose, c’est moins d’une autre… des choix seront à définir.
Une nouvelle voie, la nôtre, est ainsi proposée aux citoyens… il ne nous restera plus qu’à mettre en œuvre notre projet (phase 3)… mais là, nous saurons où nous irons et avec qui nous irons. Pour mettre en œuvre notre projet, nous passerons par la case « élection ». Avec un projet clair, compréhensif par tous, nous aurons toutes les capacités pour le présenter aux électeurs. D’autant plus que durant la phase conceptionnelle, nous les aurons sollicités.
Pour parachever un projet, il est impératif de passer par la case « bilan » (phase 4). C’est la phase de responsabilité de l’élu : a-t-il bien accompli sa mission ? Quel en est le résultat ? Faut-il réaménager le projet ? C’est la rétroaction, le temps de l’analyse, des mises au point, de l’évolution du projet (retour à la phase 1).
Ne proposer que des pansements pour palier aux manques actuels (chômage, santé…), c’est finalement accepter le projet des autres et ne gérer que les « dégâts collatéraux », catastrophiques pour nos concitoyens. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut négliger cette urgence, des millions de gens sont dans la souffrance, donnons-leur du poisson et apprenons-leur à pêcher.

3 mars 2007
Daniel LACROZE-MARTY

lundi 26 février 2007

Union des candidats émergents

J'ai rejoins l'Union des Candidats Emergents, candidats unis pour l'élection présidentielle autour de Monsieur Jean-Marc GOVERNATORI.
Au-delà de tout clivage politique, nous proposons une voie qui répond aux attentes de nos concitoyens : l'emploi, la santé, l'éducation...

Visitez notre site (en cours de création)

http://www.unioncandidatsemergents.org/

dimanche 25 février 2007

Question de langage

Qui se cache derrière une institution, une association, une multinationale… ?

Nous parlons de la responsabilité (ou de l'irresponsabilité) des multinationales (et de diverses institutions ou groupements). Derrière une multinationale, il y a des femmes et des hommes, des dirigeants. Ne serait-il pas mieux, faute de les nommer (ils sont souvent très discrets), de parler de la responsabilité (ou de l'irresponsabilité) des DIRIGEANTS des multinationales, des DIRIGEANTS syndicaux, des ELUS (Parlementaires, Conseillers généraux…) des assemblées... Cela personnifierait les décisions en appuyant fortement sur le fait que se sont bien des êtres humains qui sont derrière toute décision, toute action.

« La Commission européenne a décidé que... » NON, la Commission n'est qu'une personne morale, elle ne peut pas par sa nature immatérielle faire quoique se soit, se sont bien les personnes qui la composent qui décident de... Bien sûr, quand nous disons "Commission européenne", nous pensons bien que se sont des individus qui se cachent derrière... mais n'est-il pas plus clair (et plus responsable) de le dire !?

Ce n’est pas la faute d’Exxon si nos plages ont été polluées, c’est la faute aux êtres humains qui ont agit (à différent échelon, depuis le Dirigeant suprême d’Exxon, jusqu’aux bureaucrates qui ont tamponné les autorisations de naviguer) en sorte que le bateau souille nos côtes.

Humanisons notre langage, ne diluons plus les responsabilités dans des institutions spectrales. Appliquons-nous à dire « les Commissaires européens, les responsables syndicaux, les élus parlementaires, le Commandant du navire, les agents contrôleurs, …, ont décidé que… ».

Ce ne sont pas les États Unis d’Amérique qui ont déclenché la guerre en Irak, c’est bien le Président BUSH (celui-là, nous le connaissons !) et ses associés qui ont mis à feu et à sang l’Irak ! Même si une majorité d’Étasuniens était partisane de l’intervention militaire en Irak, c’est bien le Président qui a décidé…

La morale de cette histoire : c'est l'Homme, lui-même et rien que lui même, qui décide de faire, de défaire ou de ne pas faire.

Daniel LACROZE-MARTY
25 février 2007

samedi 24 février 2007

Mes invitations...

Le 28 janvier dernier, j'ai invité, par courrier, à déjeuner Monsieur BAYROU, Monsieur GOVERNATORI, Madame ROYAL et Monsieur SARKOZY (dans l'ordre alphabétique).
A ce jour deux candidats m'ont remercié pour l'invitation mais n'ont pas précisé de date et silence total pour les deux autres candidats... la campagne n'est pas terminée !

ETAT D'URGENCE

Assistanat ou Education à la Vie ?

Il n'est pas utopique de croire en un idéal et oeuvrer pour s'en approcher.
Ce qui est utopique c'est de croire en un idéal en restant les bras croisés.

En lisant les différents programmes (si, parfois, nous pouvons appeler ça « programme ») des candidats, nous pouvons lire : « augmentation des minima sociaux » pour palier à la paupérisation, « x euros débloqués pour les sans-logis ou mal-logés » pour palier à la crise du logement, « augmentation du budget de la recherche » pour palier au manque cruel de moyens dans ce domaine, « création de x postes de personnel de santé » pour palier à la pénurie d’infirmière et autre personnel de la santé…

Il y a urgence à répondre aux attentes des chômeurs, des exclus, des salariés en précarité, des personnes aux revenus insuffisants, des marginalisés, des étudiants, des retraités, des mal logés, des pêcheurs, etc.
Il y a urgence à améliorer l’État général de notre planète, le moral de nos concitoyens, leur santé…

IL Y A URGENCE chronique… et urgente !

Certains ont répondu à ces urgences en créant Emmaüs, les Restos du cœur, le Droit au Logement… (pour ne citer que ceux-là), croyant trouver la solution aux souffrances humaines. Malheureusement, nous ne pouvons que constater leur cuisant échec. Au lieu de supprimer la cause du mal, ils l’ont pérennisé malgré eux.

Avant de proposer des réponses à l’urgence, il est bon de connaître les raisons de l’urgence.

L'urgence doit palier à un événement soudain, imprévisible, (tremblement de terre, sécheresse, catastrophe, attentat...). La réponse doit être immédiate, en adéquation avec l’événement. Nous pouvons nous préparer à ce type d’accident (en général, nous le sommes même si, parfois, il y a des manques). Ces événements sont suffisamment émotionnels pour que les politiques en tiennent compte : nos élus trouvent rapidement quelques millions voire quelques milliards d’euros pour cela.

Après la seconde guerre mondiale, nous avons connu le « baby boom » : une explosion de naissances. Ce qui était prévisible, c’est que quelques années plus tard, les écoles primaires verraient le nombre d’élèves augmenter considérablement, 10 ans après, c’était au tour des collèges, puis plus tard celui des lycées… et soixante ans après, celui des retraites… tout était prévisible depuis 60 ans (avec un affinement au fur et à mesure que le temps passait). Et aujourd’hui, nous sommes dans l’urgence pour traiter le problème des retraites comme si c’était un fait soudain, imprévisible !

Nous pouvons calquer cet état au logement, à la santé… bref, à tout ce qui est en état d’urgence car ce ne sont jamais des événements soudains, imprévisibles qui ont généré ces misères mais bien le comportement volontaire de l’Homme.

Deux coupables à cet état de fait :

* Les élus (de tout niveau) n’ont pas su (ou pas voulu) anticiper l’évolution de notre société. Ils ont refusé de considérer les problèmes en envoyant aux calendes grecques les réponses. Quand ils ont répondu, ils l’ont fait en saupoudrant quelque argent pour noyer la misère, pour la réduire au silence, pour la museler mais surtout, pour avoir la paix sociale.

* Les citoyens, pour éviter tout conflit, ont fermé les yeux sur leur véritable problème. Ils se sont contentés du saupoudrage… et finalement y ont pris goût. Certains sont même devenus experts en assistanat institutionnalisé (soit pour eux, soit pour les autres – Restos de cœur, Emmaüs, Droit au logement… pour ne reprendre que ceux déjà cités - ).
Un exemple d’actualité qui montre bien le comportement de chacun, élus et citoyens : le pouvoir d’achat (il y a urgence paraît-il)

Certains responsables politiques préconisent de travailler plus pour gagner plus et donc avoir un pouvoir d’achat plus important. Ces (ir)responsables évitent ainsi tout conflit en proposant une solution. Qu'en pensent les personnes concernées ? « C’est bien ! Effectivement si nous travaillons plus (comme le permet le Ministre), nous gagnerons plus… »

Ils préconisent également une hausse des minima sociaux, du SMIC… Tout le monde y sera beau, tout le monde y sera content… CQFD

L’objectif réel est bien de parvenir au pouvoir en trompant les citoyens, en leur faisant croire que le problème est là et pas ailleurs. Travailler plus quand il y déjà 4 000 000 de personnes sans emploi ? Augmenter les minima sociaux (accroître ainsi l’assistanat) quand la France sociale est en faillite ?

Nous ne pouvons agir en réponse à une question que si la question est juste. Faut-il augmenter les minima sociaux ou les supprimer ? Faut-il travailler plus pour gagner plus ou être augmenté pour gagner plus ?

Si nous supprimons les minima sociaux qui sont de l’urgence pérenne et de l’assistanat institutionnel, que faut-il faire pour que les citoyens n’en aient plus besoin ? Voilà une question qui engage la responsabilité de chacun.

Si nous valorisons le revenu du travail, quelles en seraient les conséquences ?

Et si, au lieu de découper en rondelles notre vie sociale, nous posons la question plus globale, mais ô combien pertinente : Comment, oui, comment voulons-nous vivre ? Quelle qualité de vie souhaitons-nous ?

La réponse à cette question n’est pas dans l’urgence ni dans l’assistanat. La réponse demande une prise de conscience de chacun, un choix de société (donc de la responsabilité de nos actes), d’une éducation à la Vie !

Quand nous verrons dans un programme, un projet de société, nous aurons réponse à toutes nos misères.

Si tu vois un homme en train de mourir de faim, donne-lui un poisson (c’est de l’assistanat dans l’urgence) mais surtout, surtout, apprends-lui à pêcher (c’est l’éducation à la vie) !

Daniel LACROZE-MARTY
24 février 2007

samedi 3 février 2007

Chômage : Les chiffres officiels, les autres chiffres, les vrais chiffres…

En septembre 2006, les chiffres officiels du chômage indiquaient 2 172 000 demandeurs d’emploi. En décembre 2006, le collectif « les autres chiffres du chômage » annonce 4 450 000 demandeurs d’emploi.

Comment peut-on penser qu’un Gouvernement gère correctement un pays en annonçant deux millions de chômeurs alors qu’il y en aurait quatre millions et demi !!??

Toute action pour quelque cause que se soit doit impérativement tenir compte de la réalité des faits.

Mais, de quoi parle-t-on ? De chômeurs…

Chômeur : Celui, celle qui est sans travail (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)… et qui en voudrait.

Est-ce bien de celui-ci que nous parlons ? Ou bien de celui-là :

Le chômage est défini relativement à une semaine donnée, dite semaine de référence. Un chômeur est ainsi une personne :
1) qui n’a pas travaillé, ne serait-ce qu’une heure, au cours de la semaine de référence ;
2) qui était disponible pour travailler dans un délai de deux semaines ;
3) qui a entrepris des démarches spécifiques pour trouver un emploi au cours des quatre semaines précédant la semaine de référence.
(Définition du BIT)

Selon cette définition, retenue par nos gouvernants, la France compte un peu plus de deux millions de chômeurs. C’est sans compter les chômeurs des départements d’Outre-Mer, c’est sans compter les personnes travaillant à temps partiel (voire très partiel), c’est sans compter les personnes âgées dispensées de recherche d’emploi, c’est sans compter les chômeurs en stage… et c’est sans compter toutes celles et tous ceux qui ont baissé les bras et qui se terrent dans le silence.

Le collectif ACDC annonce près de quatre millions et demi de chômeurs, ce qui me paraît plus près de la réalité… et c’est ce chiffre qu’il faut prendre en compte pour gouverner dans le vrai. La politique de l’autruche n’est bonne que pour les menteurs, les fraudeurs, falsificateurs… (je m’arrête là car je risquerai de dire des gros mots !)

Daniel LACROZE-MARTY
3 février 2007

dimanche 28 janvier 2007

Invitation

Il n’est pas banal qu’un candidat à l’élection présidentielle invite un autre candidat à sa table.

Et pourtant… pourtant il ne tient qu’à vous Monsieur Bayrou, il ne tient qu’à vous Monsieur Governatori, il ne tient qu’à vous Madame Royal et il ne tient qu’à vous Monsieur Sarkozy de répondre à mon invitation et à en faire un point fort de cette campagne électorale.

Je vous invite, non pas pour que vous me convainquiez de vos idées, mais pour m’écouter. Pour écouter un citoyen qui ne partage pas forcément vos idées mais qui parle avec son cœur, un citoyen parmi tant d’autres. Je parle en mon nom, mais je suis persuadé que mes propos sont le reflet fidèle de maints citoyens qui ne peuvent ou ne savent s’exprimer.

Je vous invite, en toute intimité, sans témoin, pour écouter mes doutes sur notre société dans laquelle nous vivons (Europe, violence, recherche…), pour entendre les questions que je me pose sur ce qui me paraît de l’injustice (santé, logement, retraites).

Je vous invite non pas pour que vous vous justifiez, ni pour que vous répondiez à mon questionnement, ni que vous promettiez quoi que ce soit, mais uniquement pour vous sensibiliser sur la vie quotidienne que je partage avec des millions de Françaises et de Français (chômage, retraite, logement…).

Je vous invite dans un esprit sain, honnête, pour construire la France, l’Europe de demain.

Je vous invite en toute confiance : nos propos resteront strictement confidentiels. En aucun cas je ne m’en servirai pour un quelconque profit. Cette invitation se veut à l’image de ma campagne, à l’image du mouvement d’éducation politique populaire C.E.S.P.R.I.M.E.R... Autrement (Chômeur, Exclus, Salariés en Précarité, Revenus Insuffisants, Marginalisés, Étudiants, Retraités, etc. s'expriment Autrement)

Je vous invite à ma table, chez moi, en toute modestie pour partager le repas du respect, de la considération. Téléphonez-moi pour fixer un rendez-vous et mettre au point toutes les modalités que vous jugerez nécessaire à notre rencontre.

A très bientôt.

Daniel LACROZE-MARTY
28 janvier 2007

vendredi 26 janvier 2007

Le sacre de Napolékozy

Lorsque le Président de l’UMP a été officiellement désigné candidat à l’élection présidentielle par son parti, certains journalistes ont décrit cette nomination en employant des mots on ne peut plus forts !
le « sacre » de Monsieur Sarkozy
ou
Quand les journalistes intégristes façonnent des despotes
Sacre : Consécration solennelle et quasi religieuse (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Journaliste : Personne qui fait métier d’informer à travers les médias (Dictionnaire Hachette encyclopédique)
Intégriste : Partisan de l’intégrisme (Dictionnaire Hachette encyclopédique)
> Partisan : Personne attachée à un parti, à un régime, à quelqu'un, etc. (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Intégrisme : Doctrine qui tend à maintenir la totalité d’un système (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
> Doctrine : Ensemble de notions qu’on affirme être vraies et par lesquelles on prétend fournir une interprétation des faits, orienter ou diriger l’action de l’homme en matière religieuse, philosophique, scientifique, etc. (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Façonner : Former peu à peu (quelqu’un) par l’éducation, l’habitude… (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Despote : Souverain qui gouverne arbitrairement (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Souverain : Qui exprime une supériorité (ou un sentiment de supériorité) extrême (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
> Gouverner : Exercer le pouvoir politique (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Arbitrairement : De façon arbitraire (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Arbitrairement : De façon arbitraire (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Arbitraire : Qui dépend de la seule volonté, souvent aux dépends de la justice ou de la vérité (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)

Daniel LACROZE-MARTY
26 janvier 2007

mardi 23 janvier 2007

Hommage à l’abbé Pierre

Le plus beau, le plus grand, le plus sincère des hommages que les élus (et les candidats à une élection) peuvent adresser à l’Abbé Pierre, c’est de se taire et de faire en sorte que la question des sans-abri (et des mal logés) soit résolue dans un délai très raisonnable.

Daniel LACROZE-MARTY
23 janvier 2007

dimanche 21 janvier 2007

pétition

PÉTITION
pour le libre accès à la signature des Grands-Électeurs
dans le cadre de l’Élection Présidentielle de 2007
mise en circulation le 1° janvier 2007
à l’initiative du collectif Démocratie En Marche des "partis minorés"
~ ~ ~

Énoncé de principe

Historiquement et pour en limiter l’accès, la Présidentielle s’est vue soumise à la caution des
Grands-Electeurs. Avec 100 signatures nécessaires au départ, on est ensuite passé à 500, mais
depuis le 21 avril 2002, on abandonne ce quasi-anonymat puisque les noms des parrains sont
publiables sur Internet. Une information sensible et critique dans un certain nombre de cas...

Or cette situation est contraire à la règle du bulletin secret qui doit prévaloir. Tous les partis ont
les mêmes droits, sauf à interdire ceux qui menacent la République. Le premier tour de la Présidentielle est en France un moment unique de débat et d’expression et ne peut être confisqué au profit des grandes formations, avec la démocratie pour alibi...

La solution consiste, à faire parvenir à chaque Grand-électeur une liste "sécurisée" des candidats qui se seront déclarés, et de lui permettre de faire un choix absolument anonyme, comme dans n’importe quel scrutin. Libre ensuite aux petits partis accédant éventuellement au 1° tour, de participer réellement ou de négocier leur acquis avec une formation majoritaire...

En conséquence, je soussigné Daniel LACROZE MARTY

En qualité de : candidat à l’élection présidentielle et animateur du mouvement C.E.S.P.R.I.M.E.R... Autrement.

Domicilié à 82400 CAYRAC

demande à ce que soit signé un décret en ce sens dans le cadre de l’élection Présidentielle de 2007

à Cayrac

le 21 janvier 2007

Signé : daniel LACROZE-MARTY

Cette pétition est renvoyée à :
ESPERANTO-LIBERTE (Démocratie En Marche)
BP.87 73700 Boug-St-Maurice

déficit budgétaire et dette nationale

Question de
http://www.electeur2007.com/question.html

Question : notre argent de nous tous les Français, donc les finances publiques de la France:

1. déficit budgétaire - est-il "bon" ou "mauvais" d'avoir le déficit du budget annuel de l'État?
2. Quel montant du déficit est "acceptable" pour la France (combien)? La règle Maastricht de 3%, est-elle acceptable (et réalisable) ou non? Faut-il la respecter?
3. Si déficit il y a, alors pour quoi faire et dans quelles conditions? Votre l'opinion + ligne directive pour les gouvernements à venir.

Il est de notre responsabilité de ne pas laisser de dette aux générations futures. Un déficit budgétaire ne peut s’entendre qu’en cas d’urgence (catastrophe par exemple). Nous, ensembles des citoyens, n’avons pas le droit de vivre au dessus de nos moyens et de faire payer les autres. Je relie le déficit à la croissance… sauf que la croissance entraîne gaspillage, pollution, frustration… tout cela pour gagner quelques points. Tout accident, toutes maladie participe à la croissance… un petite catastrophe de temps en temps relance la croissance… dans le temps, c’était une « petite » guerre (voir actuellement combien la guerre en Irak – 350 milliards de dollars – gonfle la croissance américaine)
Le choix appartient aux citoyens : si nous voulons plus de confort, il nous faut le payer. Donc pas de déficit budgétaire chronique. C’est un choix de société avec une revalorisation du travail et une redistribution équitable des richesses.
Ce n’est pas pour autant que la croissance sera zéro, mais ce ne sera pas une priorité. Selon les progrès de nos connaissance nous connaîtrons des « poussées » de croissance et des temps de pose.

4. dette nationale - elle est "trop importante" ou non? La règle Maastricht de 60% du PIB, est-elle acceptable (et réalisable) ou non? Faut-il la respecter?
5. Comment calculer le montant de la dette nationale - avec retraites des fonctionnaires, éléments du "hors bilan" et autres engagements, ou sans?
6. Comment rembourser la dette nationale (vitesse, qui et comment imposer etc.)?

Quelle que soit la méthode de calcul de la dette nationale, elle est tellement énorme qu’elle est non-remboursable. C’est une monstruosité qui lie pieds et poings de chaque française et français. Même si nous stabilisons cette bête, nous serons incapables de la rembourser et ce seront les générations futures qui devront le faire sauf si… nous l’effaçons d’un coup de gomme et nous gérons notre pays plus intelligemment en tenant compte de la volonté du peuple mais aussi des contraintes écologiques et en appliquant cette règle : « tu payes ce que tu consommes ». Il est entendu que chacun aura les moyens de cette règle par son travail, ses études, ses formations, sa retraite bien méritée…