dimanche 28 janvier 2007

Invitation

Il n’est pas banal qu’un candidat à l’élection présidentielle invite un autre candidat à sa table.

Et pourtant… pourtant il ne tient qu’à vous Monsieur Bayrou, il ne tient qu’à vous Monsieur Governatori, il ne tient qu’à vous Madame Royal et il ne tient qu’à vous Monsieur Sarkozy de répondre à mon invitation et à en faire un point fort de cette campagne électorale.

Je vous invite, non pas pour que vous me convainquiez de vos idées, mais pour m’écouter. Pour écouter un citoyen qui ne partage pas forcément vos idées mais qui parle avec son cœur, un citoyen parmi tant d’autres. Je parle en mon nom, mais je suis persuadé que mes propos sont le reflet fidèle de maints citoyens qui ne peuvent ou ne savent s’exprimer.

Je vous invite, en toute intimité, sans témoin, pour écouter mes doutes sur notre société dans laquelle nous vivons (Europe, violence, recherche…), pour entendre les questions que je me pose sur ce qui me paraît de l’injustice (santé, logement, retraites).

Je vous invite non pas pour que vous vous justifiez, ni pour que vous répondiez à mon questionnement, ni que vous promettiez quoi que ce soit, mais uniquement pour vous sensibiliser sur la vie quotidienne que je partage avec des millions de Françaises et de Français (chômage, retraite, logement…).

Je vous invite dans un esprit sain, honnête, pour construire la France, l’Europe de demain.

Je vous invite en toute confiance : nos propos resteront strictement confidentiels. En aucun cas je ne m’en servirai pour un quelconque profit. Cette invitation se veut à l’image de ma campagne, à l’image du mouvement d’éducation politique populaire C.E.S.P.R.I.M.E.R... Autrement (Chômeur, Exclus, Salariés en Précarité, Revenus Insuffisants, Marginalisés, Étudiants, Retraités, etc. s'expriment Autrement)

Je vous invite à ma table, chez moi, en toute modestie pour partager le repas du respect, de la considération. Téléphonez-moi pour fixer un rendez-vous et mettre au point toutes les modalités que vous jugerez nécessaire à notre rencontre.

A très bientôt.

Daniel LACROZE-MARTY
28 janvier 2007

vendredi 26 janvier 2007

Le sacre de Napolékozy

Lorsque le Président de l’UMP a été officiellement désigné candidat à l’élection présidentielle par son parti, certains journalistes ont décrit cette nomination en employant des mots on ne peut plus forts !
le « sacre » de Monsieur Sarkozy
ou
Quand les journalistes intégristes façonnent des despotes
Sacre : Consécration solennelle et quasi religieuse (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Journaliste : Personne qui fait métier d’informer à travers les médias (Dictionnaire Hachette encyclopédique)
Intégriste : Partisan de l’intégrisme (Dictionnaire Hachette encyclopédique)
> Partisan : Personne attachée à un parti, à un régime, à quelqu'un, etc. (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Intégrisme : Doctrine qui tend à maintenir la totalité d’un système (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
> Doctrine : Ensemble de notions qu’on affirme être vraies et par lesquelles on prétend fournir une interprétation des faits, orienter ou diriger l’action de l’homme en matière religieuse, philosophique, scientifique, etc. (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Façonner : Former peu à peu (quelqu’un) par l’éducation, l’habitude… (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Despote : Souverain qui gouverne arbitrairement (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Souverain : Qui exprime une supériorité (ou un sentiment de supériorité) extrême (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
> Gouverner : Exercer le pouvoir politique (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert)
Arbitrairement : De façon arbitraire (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Arbitrairement : De façon arbitraire (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)
> Arbitraire : Qui dépend de la seule volonté, souvent aux dépends de la justice ou de la vérité (Dictionnaire encyclopédique Petit Larousse en couleurs)

Daniel LACROZE-MARTY
26 janvier 2007

mardi 23 janvier 2007

Hommage à l’abbé Pierre

Le plus beau, le plus grand, le plus sincère des hommages que les élus (et les candidats à une élection) peuvent adresser à l’Abbé Pierre, c’est de se taire et de faire en sorte que la question des sans-abri (et des mal logés) soit résolue dans un délai très raisonnable.

Daniel LACROZE-MARTY
23 janvier 2007

dimanche 21 janvier 2007

pétition

PÉTITION
pour le libre accès à la signature des Grands-Électeurs
dans le cadre de l’Élection Présidentielle de 2007
mise en circulation le 1° janvier 2007
à l’initiative du collectif Démocratie En Marche des "partis minorés"
~ ~ ~

Énoncé de principe

Historiquement et pour en limiter l’accès, la Présidentielle s’est vue soumise à la caution des
Grands-Electeurs. Avec 100 signatures nécessaires au départ, on est ensuite passé à 500, mais
depuis le 21 avril 2002, on abandonne ce quasi-anonymat puisque les noms des parrains sont
publiables sur Internet. Une information sensible et critique dans un certain nombre de cas...

Or cette situation est contraire à la règle du bulletin secret qui doit prévaloir. Tous les partis ont
les mêmes droits, sauf à interdire ceux qui menacent la République. Le premier tour de la Présidentielle est en France un moment unique de débat et d’expression et ne peut être confisqué au profit des grandes formations, avec la démocratie pour alibi...

La solution consiste, à faire parvenir à chaque Grand-électeur une liste "sécurisée" des candidats qui se seront déclarés, et de lui permettre de faire un choix absolument anonyme, comme dans n’importe quel scrutin. Libre ensuite aux petits partis accédant éventuellement au 1° tour, de participer réellement ou de négocier leur acquis avec une formation majoritaire...

En conséquence, je soussigné Daniel LACROZE MARTY

En qualité de : candidat à l’élection présidentielle et animateur du mouvement C.E.S.P.R.I.M.E.R... Autrement.

Domicilié à 82400 CAYRAC

demande à ce que soit signé un décret en ce sens dans le cadre de l’élection Présidentielle de 2007

à Cayrac

le 21 janvier 2007

Signé : daniel LACROZE-MARTY

Cette pétition est renvoyée à :
ESPERANTO-LIBERTE (Démocratie En Marche)
BP.87 73700 Boug-St-Maurice

déficit budgétaire et dette nationale

Question de
http://www.electeur2007.com/question.html

Question : notre argent de nous tous les Français, donc les finances publiques de la France:

1. déficit budgétaire - est-il "bon" ou "mauvais" d'avoir le déficit du budget annuel de l'État?
2. Quel montant du déficit est "acceptable" pour la France (combien)? La règle Maastricht de 3%, est-elle acceptable (et réalisable) ou non? Faut-il la respecter?
3. Si déficit il y a, alors pour quoi faire et dans quelles conditions? Votre l'opinion + ligne directive pour les gouvernements à venir.

Il est de notre responsabilité de ne pas laisser de dette aux générations futures. Un déficit budgétaire ne peut s’entendre qu’en cas d’urgence (catastrophe par exemple). Nous, ensembles des citoyens, n’avons pas le droit de vivre au dessus de nos moyens et de faire payer les autres. Je relie le déficit à la croissance… sauf que la croissance entraîne gaspillage, pollution, frustration… tout cela pour gagner quelques points. Tout accident, toutes maladie participe à la croissance… un petite catastrophe de temps en temps relance la croissance… dans le temps, c’était une « petite » guerre (voir actuellement combien la guerre en Irak – 350 milliards de dollars – gonfle la croissance américaine)
Le choix appartient aux citoyens : si nous voulons plus de confort, il nous faut le payer. Donc pas de déficit budgétaire chronique. C’est un choix de société avec une revalorisation du travail et une redistribution équitable des richesses.
Ce n’est pas pour autant que la croissance sera zéro, mais ce ne sera pas une priorité. Selon les progrès de nos connaissance nous connaîtrons des « poussées » de croissance et des temps de pose.

4. dette nationale - elle est "trop importante" ou non? La règle Maastricht de 60% du PIB, est-elle acceptable (et réalisable) ou non? Faut-il la respecter?
5. Comment calculer le montant de la dette nationale - avec retraites des fonctionnaires, éléments du "hors bilan" et autres engagements, ou sans?
6. Comment rembourser la dette nationale (vitesse, qui et comment imposer etc.)?

Quelle que soit la méthode de calcul de la dette nationale, elle est tellement énorme qu’elle est non-remboursable. C’est une monstruosité qui lie pieds et poings de chaque française et français. Même si nous stabilisons cette bête, nous serons incapables de la rembourser et ce seront les générations futures qui devront le faire sauf si… nous l’effaçons d’un coup de gomme et nous gérons notre pays plus intelligemment en tenant compte de la volonté du peuple mais aussi des contraintes écologiques et en appliquant cette règle : « tu payes ce que tu consommes ». Il est entendu que chacun aura les moyens de cette règle par son travail, ses études, ses formations, sa retraite bien méritée…